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Par noslivres le 12 Avril 2023 à 15:48
Un très beau livre. ce qu'elle raconte est tout simplement effarant. A lire pour se faire une idée.
Je ne suis pas complotiste mais généticienne, l'une des plus renommées d'après certains. Dans ce livre, je vous dirai ce qu'est l'ARN messager, celui qui compose les vaccins anti-covid. Parce que vous avez le droit de savoir. Êtes-vous prêts? Lauréate du prestigieux prix Eisenhower Fellowship aux États-Unis en 2013, Alexandra Henrion Caude a dirigé plusieurs équipes de recherche en génétique à l'hôpital Trousseau, puis à Necker en tant que directrice de recherche de l'Inserm. Elle a découvert l'implication de l'ARN dans différentes maladies génétiques de l'enfant et a révélé l'existence des ARN MitomiR, qui servent aux régulations fondamentales de la cellule.
Dire que le monde a été pris de panique lorsque ce virus a fait son apparition est un euphémisme.
La réponse de l’industrie pharmaceutique à cette crise fut : les vaccins à ARN messager. La rapidité avec laquelle cette industrie a cherché, trouvé, développé, puis lancé ces vaccins dans le monde entier a été vertigineuse.
Je comprends parfaitement la hâte des politiciens à sortir leurs citoyens de cette crise. Mais je ne comprends toujours pas celle des laboratoires à avoir commercialisé ces injections. À moins que je ne le comprenne que trop bien…
Est-ce que le vaccin a stoppé l’épidémie ? Non.
Est-ce que le vaccin empêche d’attraper ce virus ? Non.
Est-ce que le vaccin empêche l’attraper à nouveau ? Non.
Est-ce que le vaccin empêche d’infecter les autres ? Non.
Est-ce que le vaccin empêche de mourir de ce virus ? Non.
En réalité, l’ARN messager, bien qu’étudié depuis des décennies, est testé pour la première fois sur l'homme à grande échelle. Qu'est ce que l'ARN messager ? Comment fonctionnent ces vaccins à ARN messager? Quels impacts ont-ils eu sur cette crise et sur notre santé ? Sommes-nous génétiquement modifiés par ces injections ? Et quel peut en être l'impact sur les générations futures ?
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Par noslivres le 12 Octobre 2017 à 10:30
Un très beau livre avec lequel on apprend plein de choses intéressantes.
En nous invitant à découvrir la table au Moyen Âge, Éric Birlouez nous entraîne dans un univers d'une éblouissante richesse sensorielle et symbolique. A la table des seigneurs, les plats étaient parfois colorés en jaune orangé ou en rouge vif. Ils étaient généreusement assaisonnés de coûteuses épices aux subtils arômes. Certains mets présentaient un degré de raffinement inouï, tels ces cygnes au bec et aux pattes dorés à l'or fin, servis revêtus de leurs plumes et avec les ailes déployées. Le festin médiéval était un spectacle «total», qui se déroulait selon un rituel très codifié et qu'agrémentaient musiciens et conteurs, jongleurs et acrobates.
Cet ouvrage nous parle aussi du pain et des bouillies de céréales, des humbles légumes et des modestes plats de fèves. C'est-à-dire de la nourriture des pauvres... qui constituaient les neuf dixièmes de la population ! Il évoque également l'alimentation des moines et nous rappelle que l'Église imposait, aux religieux comme aux laïcs, la stricte alternance des jours «gras» et des jours «maigres». Le style d'alimentation du mangeur médiéval devait impérativement être conforme à son rang social. C'est pourquoi, en nous penchant sur les tables du Moyen Âge, nous en apprenons beaucoup sur la société de l'époque, sur son organisation et ses activités économiques, sur ses normes culturelles et sa symbolique.Trois groupes sociaux aux régimes alimentaires contrastés : bellatores, oratores et laboratores
La période que l'on désigne sous le nom de «Moyen Age» couvre un millénaire entier (de la fin du V siècle jusqu'aux dernières années du XVe siècle). Au cours de ces mille ans d'histoire, l'alimentation des populations européennes n'a pas été, loin s'en faut, immuable. Mais, à côté des évolutions et des changements qui se sont opérés, certains comportements ou attitudes vis-à-vis de la nourriture n'ont pas varié d'un pouce. C'est le cas, par exemple, de cette conviction, partagée du début à la fin de la période médiévale par tous les membres de la société : le style d'alimentation d'une personne doit impérativement être conforme a son statut social. Les nourritures et boissons consommées ainsi que les manières de manger doivent afficher clairement, aux yeux de tous, le rang occupé par chacun dans la société. Le type d'alimentation constitue donc un puissant «marqueur social» et un élément de distinction entre les différents groupes qui forment la société. A la différence du consommateur d'aujourd'hui, relativement autonome dans ses choix alimentaires, le mangeur du Moyen Age est contraint de suivre un «modèle alimentaire» particulier, défini en fonction de son appartenance à l'un des trois «ordres» constituant la société médiévale.
A partir du IXe siècle, i conçue comme un système tripartite où se côtoient oratores (ceux qui prient), bellatores (ceux qui combattent) et laboratores (ceux qui travaillent). Ces trois groupes sont complémentaires : les prêtres et les moines prient pour le salut de l'âme de leurs frères chrétiens, les guerriers (les nobles) protègent la société et les travailleurs de la terre ont pour rôle de la nourrir. Des cette époque, émerge une norme alimentaire fondamentale : il faut manger «selon sa qualité», c'est-à dire selon le groupe social auquel on appartient. Oratores, bcllatores et laboratores vont alors se distinguer sur plusieurs aspects. Tout d'abord par les quantités de nourriture consommées : le noble doit manger plus que le paysan ; le moine, a contrario, doit taire preuve d'une grande- frugalité, fa distinction porte ensuite sur le type et la qualité des aliments ingérés : la viande est l'aliment aristocratique par excellence tandis que les légumes et les légumes secs sont «réservés» aux pauvres. Le mode de préparation culinaire diffère également : les puissants privilégient le rôti et le grillé alors que le bouilli caractérise l'alimentation paysanne.
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Par noslivres le 11 Septembre 2017 à 16:25
On reste stupéfait qu'un livre d'une telle vacuité ait pu être publié! Aucun intérêt. J'admire l'auteur d'avoir réussi à écrire un livre alors qu'il n'a visiblement rien à dire.
Ils s'appellent Salah, Abdelhamid, Rachid, Inès ou Sarah.
Ils sont nés ici. Et ils ont grandi ici.
Comme leurs parents. Comme leurs grands-parents.
Comme n'importe qui.
Ils fument, ils boivent, ils s'amusent.
Ils n'ont pas trente ans, parfois même la moitié.
Et, soudain, ils sont prêts à tuer.
Et à mourir.
Ils ont frappé à Paris, à Bruxelles, à Nice.
N'importe où.
Ce sont les mercenaires du Calife.
Les soldats d'Abou Bakr Al-Baghdadi, le chef de Daech, à qui tous ont prêté allégeance.
Combien sont-ils ?
Qui sont-ils ?
Régis Le Sommier, directeur adjoint de la rédaction de Paris Match, reporter de guerre en Irak, en Afghanistan et en Syrie, retrace les itinéraires de ces hommes et de ces femmes que Daech nous adresse.
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Par noslivres le 10 Septembre 2017 à 16:19
c'est bien vide tout ça. Bien écrit. Et l'auteur a fait une recherche documentaire intéressante mais le résultat n'est pas terrible.
« Elle est célèbre dans le monde entier mais combien connaissent son nom ? On peut admirer sa silhouette à Washington, Paris, Londres, New York, Dresde ou
Copenhague, mais où est sa tombe ? On ne sait que son âge, quatorze ans, et le travail qu’elle faisait, car c’était déjà un travail, à cet âge où nos enfants vont à l’école. Dans les années 1880, elle dansait comme petit rat à l’Opéra de Paris,
et ce qui fait souvent rêver nos petites filles n’était pas un rêve pour elle, pas l’âge heureux de notre jeunesse. Elle a été renvoyée après quelques années de labeur, le directeur en a eu assez de ses absences à répétition. C’est qu’elle avait un autre métier, et même deux, parce que les quelques sous gagnés à l’Opéra ne suffisaient pas à la nourrir, elle ni sa famille. Elle était modèle, elle posait pour des peintres ou des sculpteurs. Parmi eux il y avait Edgar Degas. »
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Par noslivres le 7 Septembre 2017 à 16:10
Je l'ai lu et je ne peux rien en dire tant il est vide. La France doit tout aux juifs et les antisémites sont partout! Ca part dans tous les sens et dans aucun en particulier. C'est nul. Un peu court comme réflexion et sans intérêt. Ecrire tout un livre sur le néant, bravo! Mais quelle perte de temps!
Pourquoi les Juifs sont à jamais glorieux. Où est Ninive aujourd'hui - et que s'y passe-t-il vraiment ? Proust et le Zohar, Claudel et le livre d'Isaïe. Vivons-nous, ou non, le retour des années trente ? Pourquoi il n'est pas demandé de croire, mais de savoir. Lacan et la Kabbale. Ce qu'Auschwitz eut d'unique. Quand un talmudiste invente la langue française. Pourquoi l'antisionisme est le masque de l'antisémitisme de masse. Alexandre Kojève et le prophète Jonas. A quand un Talmud musulman ? Une conversation avec Romain Gary, une confidence de Michel Foucault. Partir ou rester ? Le sable contre la terre. Solal le fort et sa couronne de carton. Qu'est-ce qu'un "peuple élu" ? Quand Louis Althusser jetait les bases de la grande alliance judéo-catholique. Ce que veut dire "être juif". Itinéraire personnel, familial, intellectuel, d'un philosophe qui, trente-sept ans après Le testament de Dieu, donne L'esprit du judaïsme.
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