• Un très beau livre que je vous recommande.  Après la "Physique de la conscience" voici un ouvrage où Philippe montre un magnifique exemple de la réalisation du Soi ! Un livre à lire et relire et surtout à conseiller vivement à une époque où il est urgent de s'ouvrir à la compréhension la plus juste possible des évènements de l'année 2020 et de notre devenir individuel ET collectif. Un beau dévoilement de la bifurcation que nous avons à prendre (.....ou non...). Les propos d'une grande pertinence de Philippe en se déjouant des pièges d'un aveuglement routinier de soumission ainsi qu'une thèse complotiste stérile voire dangereuse, exposent une réalité où nous sommes mis face à des choix de vie à faire pour nous, nos enfants et nos petits enfants ! Les clés, non pas d'un "retour à la normale" qui irait de nouveau vers un grand plouf transhumaniste, mais pour une ouverture à la partie lumineuse de notre âme, ancrés dans une vision claire, loin de la brillance des naïvetés New-age, avec une vraie Lumière d'amour et de joie dans le coeur à partager ! Merci Philippe ! Vous faites partie des rares et authentiques éclaireurs qui, comme Marguerite Kardos, Annick de Souzenelle et Eric Geoffroy, chacun dans son chemin spirituel, oeuvrent au service de l'humanité (et je n'exagère pas !).
    Un grand virage avec un livre qui tient la route (du temps...) et on y va ensemble, c'est plus joyeux !
    René

    Le grand virage de l'humanité

    Vers quel NOUVEAU FUTUR nous dirigeons-nous ?

    L'année 2020 restera dans l'histoire comme le début d'une grande transformation et d'un changement de cap pour l'humanité.
    L'apparition du virus a amorcé un véritable changement positif dans notre futur collectif. La plupart des coïncidences étranges, des mesures insensées et des erreurs absurdes qui ont jalonné la crise sont les signes d'un ancien futur – le foutur - en cours de désintégration progressive, comme sous l'emprise de la panique.
    Ce futur était en place depuis fort longtemps, créé par la vision matérialiste dominante selon laquelle l'être humain peut se réduire à une machine biologique.
    Pourtant, grâce aux progrès de la physique, cette vision aurait peu à peu été remise en question pour laisser place à un nouveau paradigme entraînant un nouveau futur dans lequel l'être humain a retrouvé son âme et le potentiel extraordinaire de sa conscience.

    C'est cette nouvelle vision du monde passionnante que nous explique l'auteur.
    Il fait le lien entre des phénomènes jusque-là inexpliqués tels que les E.M.I. et les synchronicités.
    Il nous explique le sens de la vie et surtout sur quelles bases fonder notre nouveau futur, selon un modèle dont les mots clés sont : autonomie, résilience et solidarité.

     


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  • Un très beau livre. ce qu'elle raconte est tout simplement effarant. A lire pour se faire une idée.

    Petit par le nombre de pages (150) mais grand par son contenu, le livre d’Alexandra Henrion Claude se lit comme une enquête passionnante.
    Cette généticienne de renommée mondiale nous y parle de l'ARN messager, celui qui compose les vaccins anti Covid. Les prises de position d'Alexandra Henrion Claude, auparavant adulée par la presse et le monde scientifique, lui valent dès lors l'animosité du plus grand nombre.
    Dans le contexte d'épouvante que fait régner le Covid sur la terre entière, avec un chef d'Etat clamant "nous sommes en guerre", avec les scientifiques de plateaux qui ne cessent d'affoler ceux qui les écoutent, avec tous les laboratoires qui mènent la course à l'échalote, pour produire le vaccin qui, seul, pourra sauver l'humanité, comment cette femme pouvait-elle se permettre d'émettre un avis différent et faire entendre une voix discordante ?
    Mais qu'a-t-elle fait ou dit de si contraire à la doxa ambiante ?
    Dès le début, elle signale que :
    - faire du pangolin ou de la chauve-souris les responsables du Covid est une fable et que seuls les hommes sont responsables de l'apparition du virus.
    - les tests PCR ne sont pas sans risques. Ils peuvent provoquer des désagréments mineurs (maux de tête, saignements) mais aussi des problèmes plus graves car introduire un corps étranger dans le nez et l'enfoncer jusqu'au pharynx fait courir le risque de toquer à la porte du cerveau au point de faire des brèches de l'étage antérieur de la base du crâne. L'Académie de médecine de France le reconnaît enfin et préconise les tests salivaires.
    - l'utilisation de l'ARNm pour soigner ou prévenir les maladies est particulièrement complexe. On apprend ainsi que l'on a tenté, dès l'an 2000, de soigner avec un vaccin ARNm le cancer de la prostate, puis le cancer de la peau, puis le cancer du poumon, puis le VIH, puis la rage, puis le cancer du cerveau. On tente même en 2015 d'immuniser avec un vaccin ARNm contre la grippe aviaire.
    Toutes ces tentatives ont été des échecs.

    Alexandra Henrion Claude ne manque pas de relever : 20 années de recherches et d'essais cliniques ont été des échecs ce qui n'empêche pas Moderna et Pfizer de  produire en 2021,  en un claquement de doigts, un vaccin anti covid. Et la campagne de vaccination est lancée et le business bat son plein. En fait, les essais ont été faits en accéléré, le vaccin est commercialisé alors que les phases de tests ne sont pas finies.
    Les laboratoires se refusent à divulguer les effets indésirables parfois très graves et Pfizer pose une clause : ses archives ne pourront être consultées avant 75 années. On comprend pourquoi.
    Alexandra Henrion Claude se pose les questions que tout bon scientifique se doit de se poser : lorsqu'on injecte ce vaccin, notre corps l'élimine-t-il ? Dans quel délai ? Personne n'a la réponse.
    A partir du moment où notre patrimoine génétique est augmenté d'une information génétique sans savoir quand cessera cette modification et sans connaître ses impacts génétiques pouvons-nous nous avancer à dire que ces vaccins ARNm ne nous modifieront pas génétiquement ainsi que les enfants que nous aurons conçus après vaccination ?
    Mais les laboratoires ne se posent pas de questions et vendent.
    Peu ou prou, tous ont été rattrapés par la justice de divers pays pour des affaires de pratiques commerciales frauduleuses, des déclarations trompeuses, des affaires de corruption, des pots de vin, des tests infligés, sans l'accord de leurs parents, à des enfants Nigériens... Ils ont payé des amendes mais qu'est-ce que quelques millions d'amendes au regard des bénéfices hallucinants qu'ils réalisent.

    Je recommande la lecture de ce livre à tous ceux qui veulent savoir.
    Je signale aussi qu'Alexandra Henrion Claude a décidé de reverser intégralement les bénéfices de ce livre aux soignants suspendus.

    Les apprentis sorciers

    Je ne suis pas complotiste mais généticienne, l'une des plus renommées d'après certains. Dans ce livre, je vous dirai ce qu'est l'ARN messager, celui qui compose les vaccins anti-covid. Parce que vous avez le droit de savoir. Êtes-vous prêts? Lauréate du prestigieux prix Eisenhower Fellowship aux États-Unis en 2013, Alexandra Henrion Caude a dirigé plusieurs équipes de recherche en génétique à l'hôpital Trousseau, puis à Necker en tant que directrice de recherche de l'Inserm. Elle a découvert l'implication de l'ARN dans différentes maladies génétiques de l'enfant et a révélé l'existence des ARN MitomiR, qui servent aux régulations fondamentales de la cellule.

    Dire que le monde a été pris de panique lorsque ce virus a fait son apparition est un euphémisme.

    La réponse de l’industrie pharmaceutique à cette crise fut : les vaccins à ARN messager. La rapidité avec laquelle cette industrie a cherché, trouvé, développé, puis lancé ces vaccins dans le monde entier a été vertigineuse.

    Je comprends parfaitement la hâte des politiciens à sortir leurs citoyens de cette crise. Mais je ne comprends toujours pas celle des laboratoires à avoir commercialisé ces injections. À moins que je ne le comprenne que trop bien…

    Est-ce que le vaccin a stoppé l’épidémie ? Non.

    Est-ce que le vaccin empêche d’attraper ce virus ? Non.

    Est-ce que le vaccin empêche l’attraper à nouveau ? Non.

    Est-ce que le vaccin empêche d’infecter les autres ? Non.

    Est-ce que le vaccin empêche de mourir de ce virus ? Non.

    En réalité, l’ARN messager, bien qu’étudié depuis des décennies, est testé pour la première fois sur l'homme à grande échelle. Qu'est ce que l'ARN messager ? Comment fonctionnent ces vaccins à ARN messager? Quels impacts ont-ils eu sur cette crise et sur notre santé ? Sommes-nous génétiquement modifiés par ces injections ? Et quel peut en être l'impact sur les générations futures ?

     


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  • Un très beau livre avec lequel on apprend plein de choses intéressantes.

    En nous invitant à découvrir la table au Moyen Âge, Éric Birlouez nous entraîne dans un univers d'une éblouissante richesse sensorielle et symbolique. A la table des seigneurs, les plats étaient parfois colorés en jaune orangé ou en rouge vif. Ils étaient généreusement assaisonnés de coûteuses épices aux subtils arômes. Certains mets présentaient un degré de raffinement inouï, tels ces cygnes au bec et aux pattes dorés à l'or fin, servis revêtus de leurs plumes et avec les ailes déployées. Le festin médiéval était un spectacle «total», qui se déroulait selon un rituel très codifié et qu'agrémentaient musiciens et conteurs, jongleurs et acrobates.
    Cet ouvrage nous parle aussi du pain et des bouillies de céréales, des humbles légumes et des modestes plats de fèves. C'est-à-dire de la nourriture des pauvres... qui constituaient les neuf dixièmes de la population ! Il évoque également l'alimentation des moines et nous rappelle que l'Église imposait, aux religieux comme aux laïcs, la stricte alternance des jours «gras» et des jours «maigres». Le style d'alimentation du mangeur médiéval devait impérativement être conforme à son rang social. C'est pourquoi, en nous penchant sur les tables du Moyen Âge, nous en apprenons beaucoup sur la société de l'époque, sur son organisation et ses activités économiques, sur ses normes culturelles et sa symbolique.

    Trois groupes sociaux aux régimes alimentaires contrastés : bellatores, oratores et laboratores

    La période que l'on désigne sous le nom de «Moyen Age» couvre un millénaire entier (de la fin du V siècle jusqu'aux dernières années du XVe siècle). Au cours de ces mille ans d'histoire, l'alimentation des populations européennes n'a pas été, loin s'en faut, immuable. Mais, à côté des évolutions et des changements qui se sont opérés, certains comportements ou attitudes vis-à-vis de la nourriture n'ont pas varié d'un pouce. C'est le cas, par exemple, de cette conviction, partagée du début à la fin de la période médiévale par tous les membres de la société : le style d'alimentation d'une personne doit impérativement être conforme a son statut social. Les nourritures et boissons consommées ainsi que les manières de manger doivent afficher clairement, aux yeux de tous, le rang occupé par chacun dans la société. Le type d'alimentation constitue donc un puissant «marqueur social» et un élément de distinction entre les différents groupes qui forment la société. A la différence du consommateur d'aujourd'hui, relativement autonome dans ses choix alimentaires, le mangeur du Moyen Age est contraint de suivre un «modèle alimentaire» particulier, défini en fonction de son appartenance à l'un des trois «ordres» constituant la société médiévale.
    A partir du IXe siècle, i conçue comme un système tripartite où se côtoient oratores (ceux qui prient), bellatores (ceux qui combattent) et laboratores (ceux qui travaillent). Ces trois groupes sont complémentaires : les prêtres et les moines prient pour le salut de l'âme de leurs frères chrétiens, les guerriers (les nobles) protègent la société et les travailleurs de la terre ont pour rôle de la nourrir. Des cette époque, émerge une norme alimentaire fondamentale : il faut manger «selon sa qualité», c'est-à dire selon le groupe social auquel on appartient. Oratores, bcllatores et laboratores vont alors se distinguer sur plusieurs aspects. Tout d'abord par les quantités de nourriture consommées : le noble doit manger plus que le paysan ; le moine, a contrario, doit taire preuve d'une grande- frugalité, fa distinction porte ensuite sur le type et la qualité des aliments ingérés : la viande est l'aliment aristocratique par excellence tandis que les légumes et les légumes secs sont «réservés» aux pauvres. Le mode de préparation culinaire diffère également : les puissants privilégient le rôti et le grillé alors que le bouilli caractérise l'alimentation paysanne.


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  • On reste stupéfait qu'un livre d'une telle vacuité ait pu être publié! Aucun intérêt. J'admire l'auteur d'avoir réussi à écrire un livre alors qu'il n'a visiblement rien à dire.

    Les mercenaires du calife de Régis le Sommier

    Ils s'appellent Salah, Abdelhamid, Rachid, Inès ou Sarah.
    Ils sont nés ici. Et ils ont grandi ici.
    Comme leurs parents. Comme leurs grands-parents.
    Comme n'importe qui.

    Ils fument, ils boivent, ils s'amusent.
    Ils n'ont pas trente ans, parfois même la moitié.
    Et, soudain, ils sont prêts à tuer.
    Et à mourir.

    Ils ont frappé à Paris, à Bruxelles, à Nice.
    N'importe où.
    Ce sont les mercenaires du Calife.
    Les soldats d'Abou Bakr Al-Baghdadi, le chef de Daech, à qui tous ont prêté allégeance.

    Combien sont-ils ?
    Qui sont-ils ?

    Régis Le Sommier, directeur adjoint de la rédaction de Paris Match, reporter de guerre en Irak, en Afghanistan et en Syrie, retrace les itinéraires de ces hommes et de ces femmes que Daech nous adresse.


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    c'est bien vide tout ça. Bien écrit. Et l'auteur a fait une recherche documentaire intéressante mais le résultat n'est pas terrible.

    La petite danseuse de 14 ans de Camille Laurens

     

    « Elle est célèbre dans le monde entier mais combien  connaissent son nom ? On peut admirer sa silhouette  à Washington, Paris, Londres, New York, Dresde ou
    Copenhague, mais où est sa tombe ? On ne sait que son  âge, quatorze ans, et le travail qu’elle faisait, car c’était déjà  un travail, à cet âge où nos enfants vont à l’école. Dans les  années 1880, elle dansait comme petit rat à l’Opéra de Paris,
    et ce qui fait souvent rêver nos petites filles n’était pas un  rêve pour elle, pas l’âge heureux de notre jeunesse. Elle a  été renvoyée après quelques années de labeur, le directeur  en a eu assez de ses absences à répétition. C’est qu’elle avait  un autre métier, et même deux, parce que les quelques sous  gagnés à l’Opéra ne suffisaient pas à la nourrir, elle ni sa  famille. Elle était modèle, elle posait pour des peintres ou  des sculpteurs. Parmi eux il y avait Edgar Degas. »


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  • Je l'ai lu et je ne peux rien en dire tant il est vide. La France doit tout aux juifs et les antisémites sont partout! Ca part dans tous les sens et dans aucun en particulier. C'est nul. Un peu court comme réflexion et sans intérêt. Ecrire tout un livre sur le néant, bravo! Mais quelle perte de temps!

    L'esprit du judaïsme

    Pourquoi les Juifs sont à jamais glorieux. Où est Ninive aujourd'hui - et que s'y passe-t-il vraiment ? Proust et le Zohar, Claudel et le livre d'Isaïe. Vivons-nous, ou non, le retour des années trente ? Pourquoi il n'est pas demandé de croire, mais de savoir. Lacan et la Kabbale. Ce qu'Auschwitz eut d'unique. Quand un talmudiste invente la langue française. Pourquoi l'antisionisme est le masque de l'antisémitisme de masse. Alexandre Kojève et le prophète Jonas. A quand un Talmud musulman ? Une conversation avec Romain Gary, une confidence de Michel Foucault. Partir ou rester ? Le sable contre la terre. Solal le fort et sa couronne de carton. Qu'est-ce qu'un "peuple élu" ? Quand Louis Althusser jetait les bases de la grande alliance judéo-catholique. Ce que veut dire "être juif". Itinéraire personnel, familial, intellectuel, d'un philosophe qui, trente-sept ans après Le testament de Dieu, donne L'esprit du judaïsme.


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